François, dit Le Père tranquille (1902-1917)

François, dit Le Père tranquille (1902-1917)

Compagnon de jeu d’Antoine, ils se disputent souvent et se réconcilient aussitôt. Ils parlent moteurs, aéroplanes et chemins de fer. Très doué pour les mathématiques et la musique, il étudie le violoncelle. Il est, avec Antoine, élève au collège Sainte-Croix au Mans, puis interne à Saint-Jean à Fribourg. C’est là qu’il tombe malade. Atteint d’un rhumatisme au cœur il dépérit doucement et s’éteint à l’âge de quinze ans. Il rédige un testament, laissant à son frère sa bicyclette et une carabine.