Quelques semaines après son 15e anniversaire, en proie à une fièvre persistante, François quitte la villa Saint-Jean pour être soigné par sa mère à Saint-Maurice. Atteint d’une péricarite aiguë au cœur, l’enfant s’éteint le 10 juillet 1917. Avant de mourir, il s’entretient avec son frère et lui laisse en héritage un moteur à vapeur, une bicyclette et une carabine. Très affecté par sa disparition, Antoine s’enferme dans un mutisme douloureux.