Libéré du service militaire le 5 juin 1923, il songe à entrer dans l’armée de l’Air, mais il en est détourné par sa fiancée Louise de Vilmorin. Il trouve un emploi de contrôleur de fabrication aux Tuileries de Boiron. Son bureau se trouve au siège de la compagnie, rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris. Ce travail de bureau ne lui convient pas et il le quitte au bout d’un an.